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Surligner : trop c'est comme pas assez !


Toujours armé de notre surligneur (ou de nos centaines de surligneurs), on ne veut pas passer à côté d'une information importante ! Surtout pas quand l'examen de mathématiques tient sur 3 pages remplies de texte. On s'embrouille rapidement, tellement il y a de données disponibles, alors qu'en réalité, seulement quelques unes sont essentielles.

Recette secrète pour avoir moins peur de la situation problème !

1. Le premier paragraphe est souvent inutile. Il sert de mise en situation. Il est seulement là pour ne pas commencer l'examen avec : "chaque litre de peinture coûte 3.50$ ..."

2. Chaque phrase sans données nécessaires, on raye ! Nul besoin de la relire 5 fois, elle ne sert à rien.

3. Deux (maximum trois) surligneurs, c'est assez ! En lisant la situation problème, il faut séparer les éléments de la question en deux ou en trois parties pour ensuite être capable de s'y retrouver !

4. Surligner les titres de notre démarche, c'est efficace ! Chaque étape d'une résolution mathématique doit être claire et séparée des autres.

  • On s'y retrouve aisément, on peut repérer nos erreurs.

  • On peut même gagner des points. L'enseignant pourra clairement voir les étapes de résolution détaillées et ainsi pénaliser précisément l'erreur et non la démarche entière.

Surligner, c'est identifier les éléments importants et éliminer ceux inutiles. On éclaircit la mise en situation pour bien comprendre ce qui est demandé, et le tour est joué !

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